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Les marins la regardent
Qu’elle est belle, malgré eux
Un instant ils s’attardent
Un sourire jusqu'aux yeux
Que c’est beau une femme.
Surtout témoignant
D’une si grande force d’âme
Que s’en est poignant.
Ses yeux, interrogent l’horizon.
Pour eux, c’est trop tard, ça ne sert plus à rien.
Le vent, soulève ses cheveux blonds.
Pour eux, c’est vraiment une femme de marin.
Les marins la regardent
Qu’elle est belle, malgré eux
Un instant ils s’attardent
Un sourire jusqu'aux yeux
Que c’est fort une femme
Elle brave en tremblant.
Tiendra-t-elle comme la flamme
Qui vacille sous le vent ?
Les hommes, des enfants de la mer
Se disent, c’est la vie , faut se faire une raison.
Soudain, dans l’espace d’un éclair
La voile, d’un bateau surgit à l’horizon.
Les marins la regardent
Qu’elle est belle, malgré eux
Un instant ils s’attardent
Un sourire jusqu'aux yeux
Que c’est drôle une femme.
Dire qu’elle a souffert
Sans verser une larme.
Au bout de l’enfer
Elle pleure, son enfant est sauvé.
Pour eux, c’est fini, ils s’en vont mais demain
Au cœur d’une tempête déchaînée
Au loin, ils verront cette femme de marin.
La mère est si belle
Ils vont s’en souvenir
Ceux que la mer appelle
Partent avec le sourire.
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On se ment à soi même
Quand on dit
Qu’importe si personne m’aime
Dans la vie
On se trouve des amis
Des vrais, qui trompent parfois
On est jamais surpris
Par qui ne nous aime pas
Soit gai, rit de tes petits malheurs
Cela guérit de tout, de toutes tes erreurs
Soit gai rit la vie qui va qui vient
Elle prête à rire et l’on s’en porte bien
On se trompe sur soi même
Quand on croit,
Que la cause des problèmes
Vient de soi.
Il y a une montagne
De choses à faire. Qui baisse
Les bras un jour s’épargne
Un autre jour, il progresse.
Combien de chance faut il
Face aux difficultés ?
Qui donne aux plus fragiles
La force de surmonter.
On s’en prend à soi même
D’être trop cool
Quand la bêtise humaine
Clame et saoule.
Qui parle de liberté
En refusant d'entendre
Une toute autre vérité
Ne cherche pas à comprendre.
Il veut avoir raison
Dans un dialogue de sourd
Le mauvais est le bon
Le cœur léger est lourd.
On peut trouver soi même
Son chemin.
Avec ceux que l’on aime
Voir plus loin
Sans jamais s’arrêter
Aux avis de toute sorte
Qui veulent être écoutés
Qui s’imposent mais qu’importe !
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Une femme c’est une femme après tout mais
Voyez vous ma femme avant tout c’est
Bien plus qu’une femme
Bien plus que ça
C’est toute mon âme
C’est ma force, ma joie.
Un homme c’est un homme après tout mais
Voyez vous un homme avant tout c’est
Bien plus que ça
Aux yeux d’une femme
Qui en lui voit
Le fond de l’âme
Il en faut de l’amour
Il en faut des regards
Il en faudrait toujours
Pour comprendre, pour savoir
Pourquoi on vit sa vie
Quand toi et moi font nous
Quand on a qu’une envie
Celle d’aller jusqu’au bout,
Jusqu’au bout de ses jours
Une femme, un homme alors
Forment un couple pour toujours,
Unis malgré la mort.
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Si elle avait voulu lanturlu
Sans faire l’ hurluberlu, j’aurais pu
Trouver la bonne formule qui annule
les effets ridicules d’une phrase nulle,
Mais je n’ai pas su trouver le bon mot
Le bon mot qu’il faut pour que disparaisse
Sa peine qui me laisse là comme un nigaud
Pas fier de son rôle, de sa maladresse
REFRAIN
Trouve un bon mot
fait un beau geste
Disait Merlin au chapeau pointu
L’amour fera, sans doute le reste
La vie m’a dit turlututu
Pas comme j’aurais voulu, lanturlu
J’ai fait ce que j’ai pu, elle m’as vu
Jouer les magiciens, quel chagrin !
Ce n’était pas malin, j’en conviens
Il aurait fallu de si peu de chose
Pour tourner la chance , pour changer la donne
J’ai tout essayé pour défendre ma cause
Peine perdue que faire pour qu’elle me pardonne ?
REFRAIN
Je ne l’ai pas voulu lanturlu
Comme un hurluberlu, j’ai pas su
Éloigner les nuages, son visage
Garde encore le passage de l’orage
Il aurait fallu un coup de baguette
Magique pour changer en une pomme d’amour
La pomme de discorde, elle me fait la tête
La magie des mots ne marche pas toujours,
REFRAIN
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Toutes ces petites choses, tous ces fragments de toi
Qui jalonnent le chemin du temps du temps qui n’arrête pas,
Sont des petits cailloux pour un cœur égaré
Qui a pour horizon qu’un trou mal éclairé,
Petit face au destin, je sens que les géants
Qui me regardent passé me poussent hors du néant,
Il faut vaille que vaille marcher vers la lumière
Avancer vers demain sans oublier hier,
Et même si,
Le vide de l’absence se remplit
De choses qui retombent dans l’oubli
Et même si
On le dit, la mort c’est la vie
La vie n’est pas la mort, même si
Et même si,
Toutes ces petites choses, tous ces fragments de toi
Que prennent les souvenirs pour me parler tout bas
Sans y être invités, ils me reviennent toujours
Pas besoin de raison quand il y a l’amour,
Le destin m’a privé de toi beaucoup trop tôt
Pour te retrouver il suffit d’un geste, d’un mot
Même si cela fait mal, cela me fait du bien
En pensée tu es là, et ça, j’en ai besoin,
Et même si,
Le vide de l’absence se remplit
De choses qui retombent dans l’oubli
Et même si
On le dit, la mort c’est la vie
La vie n’est pas la mort, même si
Et même si,
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