• Quand nous serons ensemble

    On trouvera la vie belle

    Un matin de printemps après une nuit d’hiver

    La vie qui désassemble

    Demain sera celle qui scelle

    Plus de main sur la porte, plus de bagages ouverts.

    REFRAIN

    Oui mais en attendant,

    Que faisons-nous de nous ?

    Que faisons-nous du temps,

    Du temps, on n’en voit pas le bout.


    C’est toujours la même chose

    Toujours le même refrain,

    Jamais on ne se pose

    Jamais on s’arrête, on part, on revient.

    Toujours la même rengaine

    On n’en voit pas la fin.

    Nous arrivons à peine

    Déjà nous pensons, qu’il faudra partir dés demain.


    REFRAIN


    Comme la vie sera belle

    Quand nous serons ensemble

    Plus d’aller et retour, de bagages à porter.

    Fini les nuits d’hôtels, nous déferons toutes les sangles

    De nos valises, heureux de les avoir rangées.

    REFRAIN

    C’est toujours la même chose

    Toujours le même chagrin

    Quand la vie n’est pas rose

    Le ciel n’est pas bleu, nous n’y pouvons rien.

    Toujours la même galère

    Plus on rame moins ça va

    On ne peut se complaire

    A faire et refaire nos malles on ne veut plus cela.


    Quand nous serons ensemble

    On trouvera la vie belle

    Le temps qui nous sépare va resserrer nos liens.

    Plus j’y pense, plus je tremble

    Plus on tire sur la ficelle

    Moins le nœud se dénoue, j’ai hâte d’être à demain.


    REFRAIN

    C’est toujours la même chose

    Toujours la même chanson

    C’est le cœur qui compose

    La vie qui écrit et nous qui jouons.

    Sur les violons de l’âme

    La corde des sentiments

    L’air d’un homme et d’une femme

    Qui n’en peuvent plus de devoir s’attendre tout le temps

    Comme la vie sera belle

    Quand nous pourrons vivre ensemble

    Bien plus belle qu'aujourd’hui , on rêve au jour meilleur.

    Comme un vole d’hirondelle

    Fait le printemps il nous semble

    Qu’une envolée d’espoir nous apporte le bonheur.


    REFRAIN






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  • Il avait un cœur prés de lui à prendre Tout chaud tout rôti délicat et tendre Elle s’offrait à lui sur un plateau On s’est dit oh l’idiot ! On s’est dit oh l’idiot ! Pourquoi il recule devant les avances. D’une fille qui l’accule à tenter sa chance ? Ce n’est pas son rôle voilà ce qu’il pense Cela frôle à ses yeux l’indécence. Monsieur a des principes Des sentiments aussi La raison qui l’agrippe N’est pas forcément la raison qu’il brandit Au nom des grandes idées On peut faire des erreurs Qui nous font regretter d’avoir ignoré Les élans de son cœur, Les élans de son cœur, ,   Il avait envie de lui dire je t’aime. C’est elle qui l’a dit sans aucun problème. A le voir surpris d’entendre ces mots On s’est dit oh l’idiot ! On s’est dit oh l’idiot ! Il fut pris de court pour lui c’est à lui De parler d’amour le premier même si Ce n’est pas facile Il a tout gâché L’imbécile au lieu d’en profiter.   Il court derrière elle pour se rattraper En espérant qu’elle saura pardonner. Sourde à son appel elle tourne le dos On s’est dit oh l’idiot ! On s’est dit oh l’idiot ! Il a fait la moue tout à l’heure c’est elle Maintenant qui joue qui tire les ficelles Elle aussi elle peut avoir ses raisons Est-ce un jeu où bien est-ce une leçon

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  • Quel beau dimanche

    On les a réunis

    Pour une belle tranche,

    Un bel après midi.

    Les petits fours

    Le vin mousseux

    C'est un beau jour

    Pour ces p'tits vieux

    Qui d'ordinaire

    N'ont rien du tout

    Ce petit verre

    Là, c'est beaucoup

    A coup de colis

    On veut qu'ils oublient

    la belle affaire que voilà

    Des gens sont là, des gens sont là.


    Quel beau dimanche

    Ça fait chaud dans leur cœur

    Leur tête se penche

    Sur un peu de bonheur.

    Dans les assiettes

    Y'a des sourires

    Qui font des miettes

    De souvenirs.

    Et dans la tête

    Y'a des regains

    De jours de fête

    On se souvient.


    Quel beau dimanche

    Ça sort de l'ordinaire.

    Un monde étanche

    Aujourd'hui c'est ouvert.

    Les petits vieux

    Sont souvent seuls,

    on s'occupe d'eux,

    On les cajolent.

    L'après désert

    Arrive trop tôt,

    Monsieur le maire

    Va dire un mot.


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