• Cela fait une éternité

    Je ne peux plus te souhaiter

    Là bonne année, une bonne santé

    Au jour de l’an minuit sonné.

     

    Cela n’a plus vraiment de sens

    Tu n’es plus là pour écouter

    Parfois le poids de ton absence

    Est difficile a supporter 

     

    A force de vivre dans mes pensées

    Je fais comme si tu étais là

    Une bonne année une bonne santé

    Quand je le dis c’est juste pour moi

     

    Cela fait une éternité

    Que cela dure, ça durera

    Encore, toujours pour ma santé

    Tu restes enfouie au fond de moi.

     


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  • Un soleil tout bleu, un ciel orangé

    Un bonhomme tout vert, un dessin d’enfant

    C’est joli à voir je l’ai partagé 

    Sans chercher à quoi il ressemble vraiment

     

    C’est peut-être un œil, peut-être un drapeau,

    Le jaune et le vert se sont  des couleurs

    Rien de plus, c’est tout, c’est juste pour faire beau 

    C’est venu comme ça, au petit bonheur.

     

    REFRAIN 

    Le meilleur toujours ça vient avec amour

    Pour trouver le bonheur c’est simple en vérité.

    Il faut de l’amour , et le dire sans détour, 

    Tu m’as ouvert ton cœur en toute simplicité.

     

    Un soleil tout bleu, un ciel orangé

    Un bonhomme tout vert, aux yeux de l’ enfant

    Les couleurs du temps, elles peuvent être changées 

    Elles sont comme il voit naturellement.

     

     

    Plus tard, il complique . Combien faut il d'heures 

    De mois et d' années pour le maître de l’art 

    On ne peut pas tout faire au petit bonheur

    A moins d’être  l’artiste  qui peut le faire croire.

     

    REFRAIN 

     

    Un soleil tout bleu, un ciel orangé

    Un bonhomme tout vert, cela me revient

    Enfant je voulais être le protégé

    Celui que l’on aime, j’ai toujours besoin.

     

    C’est  facile d’aimer quand on est aimé.

    Tu es mon soleil, mon bonheur du jour.

    Les couleurs du temps loin d’être  embrumées

    M’éclairent quand tu viens me parler d’amour


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  • Quand tu reviens me visiter

    Tu éclaires mon obscurité.

    Tu soulèves une vague de poussière

    Qui virevoltent dans ta lumière.


    Je sens l’impalpable essentiel

    De ma vie quand tu tombes du ciel.

    Je te parle, au creux du silence,

    Mes questions recherchent ta présence.


    Quand tu es là, je suis ailleurs

    J’ai des absences, quelle importance.

    Mes souvenirs gardent le meilleur,

    Ça fait du bien par où je pense.


    Les ombres deviennent un peu moins sombres

    Quand je repose dans la pénombre

    Ma vie alors peut défiler

    Le rêve me prendre dans ses filets.


    Quand dans mon coin, je me replie

    Visage fermé où ne se lit

    Pas le secret de ma pensée

    Je te retrouve paupières baissées.


    Les souvenirs fouillent la mémoire

    Pour réveiller un bout d'histoire

    Du livre ouvert ou bien fermé

    Qui reste toujours à bonne portée.


    La vie hier était la nôtre

    Il faut s’y faire elle est tout autre.

    Rien ne se perd même si tout change

    Quand tu reviens, je suis aux anges.



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  • Le poète abandonné

    Dans ses souliers a perdu pied

    Il est seul, son étoile n’est

    Plus à coté de ses souliers


    Il voulait le beau,

    Il voulait le bien,

    Mais au fil des mots

    Qu’a-t-il atteint ?

    Quand on rêve de trop

    A coté la vie

    Passe sans dire un mot

    A qui l’oublie.


    REFRAIN


    Il voulait l’amour,

    Il voulait l’estime,

    Mais au fil des jours

    A quoi ça rime

    De vouloir tenir

    Sans vouloir garder,

    De laisser partir

    Sans regarder ?


    REFRAIN

    Il voulait du temps

    Il voulait des rêves

    Mais au fil du temps

    Tout rêve s’achève.

    Les feux de la nuit

    Pâles, le jour venu

    Laissent briller la vie

    Qui continue.

    Le poète abandonné

    N’est plus seul il s’est retourné.

    Il a fait un pied de nez

    Au passé bien dans ses souliers






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  • Dans quel espace intemporel

    Navigue la pensée de l’heure

    Qui n’est plus là, qui n’est plus celle

    Du temps heureux des p’tits bonheurs


    Je vais là où le vent me pousse

    Le bruit qui court n’est qu’une rumeur.

    Je me retourne, personne aux trousses

    Je n’ai pas voler mes erreurrs


    Allez va, aujourd’hui, demain

    Sera hier, histoire sans fin

    Du temps qui passe où le présent

    C’est vivre sa vie à tous les temps.


    Elle m’en a fait dès tours pendables

    A me donner un air coupable.

    Le temps fait grâce à ceux qui ont

    Su se moquer de ses affronts.


    Quand elle m'inflige un coup du sort

    Qui fait souffrir, je crie très fort,

    Je hurle à la vie, t’es méchante.

    L’écho derrière me répète, chante


    Sur le chemin de non retour

    On ne peut pas faire demi-tour

    Il ne faut pas à la dernière

    Minute penser faire marche arrière.


    J’ai encaissé tous les chaos

    De la route qui font mal au dos

    En me disant c’est un passage

    Ce n’est pas la fin du voyage


    Dans quel espace intemporel

    Glisse la pensée qui se rappelle.

    Mes souvenirs, ils sont nombreux

    Le temps n’a pas de prise sur eux.


    A tout moment ils me reviennent

    Quoiqu’il arrive, quoiqu’il advienne,

    Je t’ai gardé tout mon amour

    Il est gravé, c’est pour toujours.



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